La consolation
Lorsque les vents de l'automne viennent
De mes rêves d'enfance je me souviens
Avec la cigarette que j'allume
Je vois tes yeux brillants dans la phosphorescence
Cette ville est tout ce que je tiens dans la main
Depuis ton départ avec la moitié de mon coeur
Istanbul est une belle femme qui pleure
Pour ma solitude qui me détruit
Je m'asseois le long du Bosphore qui est sur ses genoux
Je trouve la paix de l'histoire, éternelle
Istanbul, mon amour, ne pleure plus
Je vais nettoyer ton rimel.
Alpay
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire