POEMES EN PROSE (PROSE DE L'ORIENT EXPRESS)

La consolation

Lorsque les vents de l'automne viennent De mes rêves d'enfance je me souviens Avec la cigarette que j'allume Je vois tes yeux brillants dans la phosphorescence Cette ville est tout ce que je tiens dans la main Depuis ton départ avec la moitié de mon coeur Istanbul est une belle femme qui pleure Pour ma solitude qui me détruit Je m'asseois le long du Bosphore qui est sur ses genoux Je trouve la paix de l'histoire, éternelle Istanbul, mon amour, ne pleure plus Je vais nettoyer ton rimel.

Alpay

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